Laura fait vivre les projets REZO avec passion
Laura Boutens, 31 ans, est sage-femme de formation et titulaire d’un master en santé publique. Elle a commencé son parcours à Gand où elle est entrée en contact avec différents centres de connaissances. Elle a débuté sa carrière dans le cadre dynamique de Bruxelles. Elle y a découvert sa passion pour les projets, mais n’a pas résisté longtemps à l’appel du secteur des soins de santé. Laura a trouvé le défi idéal près de chez elle, au CH Glorieux de Renaix. L’occasion rêvée d’allier son amour pour les soins de santé à la gestion de projet.
Des projets au sein de l’hôpital
Elle a supervisé avec enthousiasme divers projets au sein du CH Glorieux, sous l’égide du Service de Qualité. Laura raconte : « J’ai rejoint le Service de Qualité en 2018 pour déployer des projets au sein de l’hôpital. J’ai contribué à des parcours cliniques et de soins, comme la politique AVC, le parcours clinique du cancer du sein, le parcours clinique du diabète gestationnel et le parcours de soins pour les patients sous oncolytiques oraux, mais j’ai aussi travaillé sur des projets d’optimisation de l’expérience du patient. Je pense notamment au développement d’une méthodologie pour les groupes de discussion. Le projet LEAN, lancé l’année dernière dans les deux hôpitaux REZO, le CH Sint-Elisabeth et le CH Glorieux, m’a propulsé vers ma nouvelle fonction. »
Un nouveau rôle pour les hôpitaux REZO
Laura a récemment franchi une nouvelle étape au sein des hôpitaux REZO en devenant Project Manager Officer (PMO) pour les deux établissements. De quoi assouvir sa passion pour la gestion de projet.
« J’occupe ma nouvelle fonction de PMO depuis le 1er février 2024. Je suis responsable de certains projets, mais mon rôle va plus loin. Ma mission consiste, d’une part, à gérer tous les projets en cours dans les deux hôpitaux. Je veille à ce que les projets importants soient lancés et exécutés comme il se doit. Il faut lever les principaux obstacles au sein des projets afin d’obtenir le résultat escompté et de créer un impact. Il s’agit donc d’un rôle stratégique global. Il reste encore beaucoup à faire pour développer et expliquer la nouvelle structure du fonctionnement de projet dans les deux hôpitaux. J
e suis, d’autre part, effectivement chef de projet pour quelques projets REZO. »
Focus sur la politique de durabilité et le programme LEAN
Laura poursuit : « Par exemple, cette année, nous rédigeons une politique de durabilité avec le groupe de pilotage ESG (Environmental Social Governance). Nous procédons par étapes : au cours des six premiers mois, nous élaborons la politique de durabilité, puis nous la traduisons en objectifs et en actions pour l’implémenter l’année suivante. Nous sommes convaincus que notre groupe de pilotage a une responsabilité sociétale et que nous devons donc agir activement en conséquence. »
« Je dirige, par ailleurs, le programme LEAN, dans le cadre duquel s’inscrivent de nombreux projets différents. Les trajets LEAN visent à lutter contre le gaspillage dans différents domaines, l’une des principales ambitions étant d’optimiser le temps des collaborateurs afin qu’ils puissent en consacrer davantage aux patients et en retirer une plus grande satisfaction. »
Au fond, la gestion de projet consiste à optimiser la gestion existante en parcourant le cycle de qualité. Chez nous, il s’agit donc d’améliorer continuellement les processus de soins. Et pas seulement pour les patients, mais aussi pour les collaborateurs.
Construisons ensemble l’avenir de REZO
« L’évolution fulgurante du paysage hospitalier flamand, et celle des soins de santé en général, me fascine. Ce phénomène transparaît chaque jour dans le développement de REZO. Nous apprenons sans cesse des collaborations que nous mettons en place. Rester soudés, continuer à suivre le rythme des autres pour finalement parvenir à un équilibre est un réel défi. »
Je considère également que ma mission est d’encourager la recherche de cet équilibre. Je viens tout droit de l’univers des soins. C’est ma force. Et j’essaie de maintenir ce lien en continuant à discuter avec les collaborateurs. Ces discussions me permettent de comprendre la situation sur le terrain. Le capital humain est encore plus important ici que dans beaucoup d’autres entreprises. Pensez aux patients, aux aidants proches, aux médecins généralistes, aux centres de soins résidentiels ... Le secteur des soins est un univers complexe dans lequel je m’investis avec enthousiasme. »
